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-Les Bienheureuses- 18 points

18,00

« Il leur donne un plaisir divin »
Un roman rouge qui surprend par sa légèreté, qui ravi par sa cruauté, qui charme par son humour et qui ne vous quitte pas parce que vous ne le lâchez pas…
“Un homme sain, simple et pervers” “Un gentil serial killer” 

Collection BASSON ROUGE – 336 pages – 17×24 cm – 18,00 € – ISBN 978-2-930582-88-7

Description

 

EXTRAIT : LES BIENHEUREUSES MALVOYANTS 18 EXTRAIT

De grands caractères, de larges interlignes, un grand format

qui offrent un confort de lecture aux malvoyants, seniors, dyslexiques, déficients visuels…

GRAND FORMAT : 17 x 24 cm

POLICE LUCIOLE 18 points

« On s’est suçoté le museau et d’autres parties de nos anatomies en virant nos fringues. En douceur et profondeur comme dirait Adamo.

J’ai suggéré qu’on gagne le plumard, plus commode pour l’honorer de ma petite spécialité. Pour le « collier à la Marcel », je prends un bon appui sur les genoux et les avant-bras, relax, confortable sur la petite dame, classique jusque-là, pas de quoi en faire tout un plat, un petit démarrage gentillet, de la langueur et de la romance au fond des yeux avant de me redresser et de la prendre au cou, en la gratifiant d’un beau sourire rassurant.
-  Comme ça, tu vas voir comme c’est bon.
Et là, vraiment,… »

Les Bienheureuses, c’est l’histoire à la fois sordide et drôlissime d’un sympathique serial killer !
Bon d’accord, des serial killers, on en croise tous les jours et à toutes les sauces… dans moult séries télévisées, ou au JT ! Entre les Experts Oslo ou Kuala Lumpur, les Esprits criminels et autres joyeusetés américaines… un assassin de plus ou de moins finalement… rien de nouveau sous le soleil. Le sujet est tellement commun qu’il en parait presque galvaudé. Et pourtant, notre serial killer à nous n’est pas comme les autres !
Pourquoi ? Parce qu’il s’appelle Marcel, tiens, et qu’il sévit pour l’essentiel… entre Marchienne, Gerpinnes, Presles et le Boulevard Tirou.
Un serial killer carolo, épatant non ? Le premier, ça c’est un scoop !
Au fil de l’histoire, nous découvrons un sympathique quinquagénaire, chômeur de longue durée – et bien décidé à le rester -, gentiment entretenu par sa maman et qui fréquente les tripots et les bistrots de nuit. Bien à l’aise dans sa petite vie, il végète gentiment jusqu’au jour où il rencontre sa première victime… il est alors persuadé d’être investi d’une mission divine : envoyer au paradis des beautés – les « Bienheureuses » – dont le créateur fera son quatre heures après que Marcel en ait fait son 5 à 7.
Entre l’Onem qui cherche à le remettre au travail, ses soirées au Sporting de Charleroi, son travail dans un parc à conteneurs, sa rencontre avec un entrepreneur mafieux, les balades « en ville » avec sa maman et ses soirées « pépères » avec son amoureuse, notre brave Marcel trucide ainsi, en passant, quelques – plus ou moins – jeunes demoiselles. Jusqu’à la rencontre avec une coiffeuse, sulfureuse beauté italienne au tempérament volcanique…

André Lalieux
André Lalieux nous offre, pour son premier roman édité, un texte écrit d’une plume délicate, primesautière, joyeuse et un brin cynique qui peut tourner à l’acide.

Extrait
« Elle était en train de quitter son mec, un horrible individu, marié, qui la baladait depuis trop longtemps.
Ça, elle me l’a expliqué, la pauvre chérie, juste au moment de me quitter. Elle voulait que je sache, que ce soit clair entre nous. Droit dans les yeux, elle m’a sorti son petit laïus en se rapprochant insidieusement de moi jusqu’à me serrer contre elle en effleurant
le coin de mes lèvres d’un subtil baiser. Ah, elle savait y faire, la garce.
Moi, je n’en avais rien à cirer de sa romance à deux balles, j’ai failli l’embrasser goulûment et lui faire son affaire, là, dans les hautes herbes, mais c’était prématuré, elle n’était pas encore prête et c’était trop risqué, trop près des premières maisons, on pouvait me surprendre en pleine action.»

Sur le texte
Les Bienheureuses, c’est l’histoire à la fois sordide et drôlissime d’un sympathique serial killer !
Bon d’accord, des serial killers, on en croise tous les jours et à toutes les sauces… dans moult séries télévisées, ou au JT ! Entre les Experts Oslo ou Kuala Lumpur, les Esprits criminels et autres joyeusetés américaines… un assassin de plus ou de moins finalement… rien de nouveau sous le soleil. Le sujet est tellement commun qu’il en parait presque galvaudé. Et pourtant, notre serial killer à nous n’est pas comme les autres !
Pourquoi ? Parce qu’il s’appelle Marcel, tiens, et qu’il sévit pour l’essentiel… entre Marchienne, Gerpinnes, Presles et le Boulevard Tirou.
Un serial killer carolo, épatant non ? Le premier, ça c’est un scoop !
Au fil de l’histoire, nous découvrons un sympathique quinquagénaire, chômeur de longue durée – et bien décidé à le rester -, gentiment entretenu par sa maman et qui fréquente les tripots et les bistrots de nuit. Bien à l’aise dans sa petite vie, il végète gentiment jusqu’au jour où il rencontre sa première victime… il est alors persuadé d’être investi d’une mission divine : envoyer au paradis des beautés – les « Bienheureuses » – dont le créateur fera son quatre heures après que Marcel en ait fait son 5 à 7.
Entre l’Onem qui cherche à le remettre au travail, ses soirées au Sporting de Charleroi, son travail dans un parc à conteneurs, sa rencontre avec un entrepreneur mafieux, les balades « en ville » avec sa maman et ses soirées « pépères » avec son amoureuse, notre brave Marcel trucide ainsi, en passant, quelques – plus ou moins – jeunes demoiselles. Jusqu’à la rencontre avec une coiffeuse, sulfureuse beauté italienne au tempérament volcanique…

Informations complémentaires

Poids 850 g
Dimensions 2,5 × 17 × 24 cm

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